dans LObs, sur le livre Le Système Soral. Enquête sur un facho-business, de Robin DAngelo et Mathieu Molard Voilà ma dernière plainte, mes enfants. Cest moi qui connais tous les coeurs ; cest moi qui les sonde jusquà leur dernière profondeur. Au regard de la foi catholique, il ny a que deux solutions : soit untel est Pape, et alors on fait ce quil dit en fermant bien sa mouille et en remerciant, soit untel nest pas pape, bien que se prétendant tel, et alors, cest un chien de lenfer. tags:,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, À cet égard, il est nécessaire de préparer convenablement les chrétiens qui vivent au contact quotidien des musulmans à connaître lislam de manière objective et à savoir sy confronter ; une telle préparation doit concerner en particulier les séminaristes, les prêtres et tous les agents pastoraux. On comprend par ailleurs que lÉglise, alors quelle demande aux Institutions européennes davoir à promouvoir la liberté religieuse en Europe, se fasse également un devoir de rappeler que la réciprocité dans la garantie de la liberté religieuse doit être observée aussi dans les pays de tradition religieuse différente, où les chrétiens sont en minorité. Mmes : N. Cavalier, R.Creste, S. Desmaisons M. Durier, M. Gy, M-L Jutel, R. Le Pape, R.Poncet, A. Le Richeux, G. Marie, R. Piochon, M-C Salami, C Stourm. Cest cela lespérance, qui est la caractéristique primordiale de lhumain, et quil serait bon de satteler à préserver avec clairvoyance et discernement. Guerres civiles européennes: Carte de la Bretagne Révolutionnaire: ISLAM-LE DOSSIER Vous vous demandez pourquoi tant de saints vous aident? Je désire quà travers eux, vous puissiez entrer dans lintimité de Mon mystère damour pour vous. Regardez-les: Benoît Labre, fils de ladoration et de la passion de mon Fils; John Vianney, qui en sacrifice, a vécu la prêtrise unique de mon Fils par la réconciliation et la pénitence pour les pécheurs; Thérèse dAvila qui était enflammée damour pour mon Fils et désirait répandre lesprit de prière pour le renouveau de la vie chrétienne et le véritable apostolat dans Mon Saint-Esprit. -mais encore, parce que la laïcité républicaine est ce qui permet aux croyants de toutes les confessions et aux non-croyants, de vivre ensemble dans le dialogue, la paix civile et le respect mutuel. Cest elle qui nous permet de nous réunir ce soir. Et cest en ce sens que la laïcité est le bien commun de toutes les religions. Jai apprécié quà loccasion de la loi sur le voile, Jean-Marie Lustiger ait appelé lattention du législateur sur la nécessité dune juste conciliation entre la laïcité de la République et la liberté de conscience et de pratique des musulmans ; parce que la liberté religieuse des musulmans et la même que celle des juifs, des catholiques ou des protestants. Cest la Famille de ceux qui croient dont jai voulu défendre les droits. En tant que Ministre des cultes, je ne suis au service daucune religion pas même la majoritaire. Vivre sa foi, la transmettre à ses enfants, la faire grandir et rayonner, cest un droit que jai voulu défendre et incarner pour tous. Aimeriez-vous découvrir le plan de Dieu pour votre vie?-Soral est libre de penser ce quil veut contrairement aux universitaires qui sont obligés de reprendre la propagande officielle pour tout un tas de raisons. Car cest létat qui les nourrit. Donc par définition un universitaire est un barratineur et un manipulateur qui ne peut pas etre sincere et honnete. Et donc un chercheur ne peut pas etre subjectif et honnete, mais il peut rester objectif de son point de vue contrairement à un soral qui peut donner son avis subjectivement cest a dire qui est le sien mais avec une certaine objectivité. Je vais devenir un objet dhorreur pour la plus grande partie de mon peuple. Aucun jeune enfant naura plus le bonheur de savourer les délices de la Foi de lEglise. Toute la jeunesse sera gâtée et, bientôt, tombera dans une putréfaction dont lodeur sera insupportable. Lycée lEspérance-35 rue Anatole France-93600 Aulnay sous Bois-Tel : 01 48 19 89 10 Nous voulons attirer votre attention, Vénérables Frères, sur cette déformation de lÉvangile et du caractère sacré de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Dieu et Homme, pratiquée dans le Sillon et ailleurs. Dès que lon aborde la question sociale, il est de mode, dans certains milieux, décarter dabord la divinité de Jésus-Christ, et puis de ne parler que de sa souveraine mansuétude, de sa compassion pour toutes les misères humaines, de ses pressantes exhortations à lamour du prochain et à la fraternité. Certes, Jésus nous a aimés dun amour immense, infini, et il est venu sur terre souffrir et mourir pour que, réunis autour de lui dans la justice et lamour, animés des mêmes sentiments de charité mutuelle, tous les hommes vivent dans la paix et le bonheur. Mais, à la réalisation de ce bonheur temporel et éternel, il a mis, avec une souveraine autorité, la condition que lon fasse partie de son troupeau, que lon accepte sa doctrine, que lon pratique la vertu et quon se laisse enseigner et guider par Pierre et ses successeurs. Puis, si Jésus a été bon pour les égarés et les pécheurs, il na pas respecté leurs convictions erronées, quelque sincères quelles parussent ; il les a tous aimés pour les instruire, les convertir et les sauver. Sil a appelé à lui pour les soulager, ceux qui peinent et qui souffrent, ce na pas été pour leur prêcher la jalousie dune égalité chimérique. Sil a relevé les humbles, ce na pas été pour leur inspirer le sentiment dune dignité indépendante et rebelle à lobéissance. Si son cœur débordait de mansuétude pour les âmes de bonne volonté, il a su également sarmer dune sainte indignation contre les profanateurs de la maison de Dieu, contre les misérables qui scandalisent les petits, contre les autorités qui accablent le peuple sous le poids de lourds fardeaux sans y mettre le doigt pour les soulever. Il a été aussi fort que doux ; il a grondé, menacé, châtié, sachant et nous enseignant que souvent la crainte est le commencement de la sagesse et quil convient parfois de couper un membre pour sauver le corps. Enfin, il na pas annoncé pour la société future le règne dune félicité idéale, doù la souffrance serait bannie ; mais, par ses leçons et par ses exemples, il a tracé le chemin du bonheur possible sur terre et du bonheur parfait au ciel : la voie royale de la croix. Ce sont là des enseignements quon aurait tort dappliquer seulement à la vie individuelle en vue du salut éternel ; ce sont des enseignements éminemment sociaux, et ils nous montrent en Notre-Seigneur Jésus-Christ autre chose quun humanitarisme sans consistance et sans autorité..